• NOS PROPOSITIONS POUR L'AVENIR DE L'EUROPE

    Préparons l'Europe de 2050 !

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L’Europe près de chez toi #Europe@Home

Les Jeunes démocrates européens (YDE) ont décidé d’organiser des actions d’information et de mobilisation dans chaque pays membre de l’Union européenne. Le projet #Europe@Home a donc pour but de parler d’Europe, de créer un moment pour chaque citoyenne ou citoyen de se rapprocher de l’Europe.

Pour leur première journées d’action, le samedi 17 septembre, les organisations membres de France, du Pays basque, de San Marin ainsi que des membres individuels en Belgique ont organisé des opérations de nettoyage, des visites d’institutions européennes ou encore une marche autour des bâtiments européens à l’occasion des Journées européennes du patrimoine.

D’autres actions à venir d’ici à la fin de l’année, nous les diffuserons sur nos réseaux ainsi que ceux de nos membres.

La jeunesse européenne s’oppose à l’agression russe et soutient l’avenir de l’Ukraine


Déclaration conjointe : La jeunesse européenne s’oppose à l’agression russe et soutient l’avenir de l’Ukraine

Nous, YEPP, YES, LYMEC, JEF, FYEG, YDE et EFAY, condamnons les actions de la Fédération de Russie en violation directe du droit international et de la paix établie en Europe. La Russie doit cesser toute action militaire, retirer sa présence militaire d’Ukraine et cesser de déstabiliser les régions orientales de l’Europe.

Ces derniers mois ont clairement montré que la Fédération de Russie ne cherche pas à adhérer ni à respecter le droit international. Nous demandons donc à l’UE et à l’OTAN de prendre les mesures nécessaires et de sanctionner la Russie pour ses violations continues, non provoquées et injustifiées.

Avec la récente reconnaissance illégale de deux régions ukrainiennes séparatistes et les attaques hostiles non provoquées de la Fédération de Russie, nous considérons qu’il est crucial que des actions nécessaires et conséquentes soient prises. C’est dans des moments comme celui-ci que des positions claires et fortes font vraiment la différence. L’UE ne peut plus se contenter d’une rhétorique efficace, mais doit au contraire prendre des mesures effectives et passer des paroles aux actes.

Nous demandons à l’UE de :
● Fournir une aide humanitaire urgente et une assistance financière si nécessaire.
● Renforcer la coopération en matière de sécurité, notamment en recourant à la Facilité européenne de paix.
● Imposer immédiatement des sanctions fortes et essentielles à la Russie.
● Continuer à autoriser les Ukrainiens à entrer dans l’UE sans visa et accélérer les procédures d’asile pour les réfugiés ukrainiens.

Toutes les organisations signataires de cette déclaration continueront à défendre la paix, la sécurité, la diplomatie et l’État de droit. Nous ne pouvons pas rester silencieux face à un gouvernement qui continue à aller à l’encontre de nos principes fondamentaux.
fondamentaux.

L’avenir de l’Ukraine est entre les mains de la jeunesse du pays et au cours des semaines et des mois à venir, un engagement cohérent avec la jeunesse pro-européenne du pays jouera un rôle important dans l’élaboration de l’avenir dans lequel elle devra vivre.

Nous réitérons notre engagement à soutenir et à rester aux côtés de nos amis ukrainiens et nous remercions nos organisations membres ukrainiennes pour leur soutien continu à nos valeurs européennes, malgré les obstacles.

Nous continuons tous à être #StandWithUkraine.

Les organisations :

  • Jeunes du Parti Populaire Européen
  • Jeunes socialistes européens
  • Jeunesse libérale européenne
  • Jeunes fédéralistes européens
  • Fédération des Jeunes Verts européens
  • Jeunes démocrates européens
  • Jeunes de l’Alliance libre européenne

INTERDISONS LES STAGES NON RÉMUNÉRÉS !

La pandémie mondiale a mis nos vies en suspens pendant les deux dernières années. Alors que nos cours étaient déplacés en ligne, non seulement nous avons manqué des événements clés qui devaient façonner nos vies, mais nous avons souffert d’instabilité sociale et économique. Nous ne pouvions plus compter sur les bibliothèques pour nos livres et notre matériel. Nous avons dû acheter des technologies supplémentaires pour suivre les cours en ligne. Nous avons été obligés de payer des frais pour les dortoirs où nous ne logions pas. Nos emplois à temps partiel ont disparu. Certains d’entre nous ont dû compter sur l’aide alimentaire et d’autres ont dû abandonner leurs études.

Les défis posés par la pandémie s’ajoutent à la lutte déjà ancienne pour joindre les deux bouts, trouver un logement abordable, acquérir de l’expérience et trouver un travail intéressant qui renforce nos compétences tout en nous permettant de nous orienter plus facilement sur le marché du travail.

Les stages sont devenus un moyen courant d’acquérir une expérience professionnelle et de mettre un pied dans le marché du travail. Pourtant, la dépendance toujours plus grande des employeurs à l’égard des stages non rémunérés rend le passage de l’éducation au travail particulièrement périlleux pour les jeunes d’aujourd’hui.

La Commission européenne a annoncé que 2022 serait l’Année européenne de la jeunesse. Cette année doit être l’année où nous mettons une fois pour toutes un terme aux stages non rémunérés en Europe.

Les stages non rémunérés relèvent de l’exploitation : Les jeunes sont exploités en travaillant gratuitement sous le prétexte d’acquérir de l’expérience. L’expérience ne paie pas les factures. Le travail est le travail, et il doit être rémunéré. De plus, les stagiaires non rémunérés ou les autres stagiaires exploités sont souvent incapables de demander le soutien ou les conseils d’un syndicat.

Les stages non rémunérés sont injustes : Dans certains secteurs du marché du travail, les postes de premier échelon ont été entièrement remplacés par des stages non rémunérés. Non seulement les stages non rémunérés n’offrent aucunement la sécurité et la valeur d’un véritable emploi rémunéré, mais ils rendent également certains secteurs inaccessibles aux personnes qui ne peuvent se permettre de travailler gratuitement. Les personnes issues de la richesse bénéficient d’un avantage supplémentaire dans la vie.

Les stages non rémunérés perpétuent l’inégalité : Les jeunes qui n’ont pas le privilège de bénéficier d’une sécurité financière, d’un soutien parental ou d’un logement bon marché ne peuvent pas suivre de stages non rémunérés, ce qui rend encore plus difficile l’entrée dans la vie active et la mobilité sociale.
Les stages sont un travail et le travail doit être rémunéré. Les stages non rémunérés sont une violation du droit des jeunes à une rémunération équitable. Au-delà de l’interdiction des stages non rémunérés, nous avons besoin de salaires équitables pour les stagiaires, accompagnés d’un statut européen pour les stagiaires et les apprentis, garantissant une norme minimale de droits concernant les conditions de travail.

L’octroi de salaires équitables aux stagiaires profitera à l’ensemble de la société. Nous serons justement récompensés pour notre dur labeur et nous aurons une plus grande sécurité financière pour résister à toute crise future. L’accès aux opportunités de carrière sera ouvert à tous les jeunes et pas seulement à ceux qui peuvent se permettre de travailler sans être rémunérés. Même les entreprises pourront en bénéficier grâce à la possibilité de recruter des jeunes issus de milieux plus diversifiés et de faire respecter les droits des jeunes.

Nous demandons à la Commission européenne et aux États membres de proposer un cadre juridique commun et contraignant pour une interdiction effective et exécutoire des stages, des apprentissages et des stages non rémunérés, et de fournir une norme minimale de droits concernant les conditions de travail.

A propos de nous

La Fédération des Jeunes Verts Européens (FYEG) est l’organisation européenne de coordination de 36 organisations de jeunes verts de tout le continent, comprenant des groupes écologiques locaux, des syndicats d’étudiants, des ailes de jeunes des partis verts et des ONG de jeunes verts. En outre, la FYEG est également l’aile jeunesse indépendante et officielle du Parti vert européen (PVE).

La Jeunesse Libérale Européenne (LYMEC) est une organisation de jeunesse politique paneuropéenne qui cherche à promouvoir les valeurs libérales dans toute l’UE en tant qu’organisation de jeunesse du parti ALDE et de son groupe parlementaire au Parlement européen (Renew Europe). Le LYMEC est présent dans toute l’Europe, dans 40 pays, à travers 62 organisations et membres individuels.

Les Jeunes Démocrates pour l’Europe sont l’organisation de jeunesse du Parti Démocrate Européen et du groupe parlementaire Renew Europe. Le YDE compte 13 membres dans 10 pays européens et des partenaires dans une douzaine d’autres pays européens.

Young European Socialists (YES) – anciennement ECOSY – est la plus grande organisation de jeunesse de parti politique en Europe. YES réunit les jeunes des mouvements socialistes, sociaux-démocrates et travaillistes de tout le continent pour faire campagne et s’organiser au niveau européen et pour offrir un forum de débat, de défense, de renforcement des capacités et d’échange à tous les jeunes militants socialistes européens.

Les Jeunes Européens Fédéralistes (JEF Europe) est une ONG de jeunesse non partisane qui compte 10 000 membres actifs dans plus de 30 pays. L’organisation se bat pour une Europe fédérale basée sur les principes de démocratie et de subsidiarité ainsi que sur le respect des droits de l’homme.

Le Forum européen de la Jeunesse (YFJ) est la plate-forme des organisations de jeunesse en Europe. Le YFJ représente plus de 100 organisations de jeunesse, qui rassemblent des dizaines de millions de jeunes de toute l’Europe. Le Forum Jeunesse s’efforce de donner aux jeunes les moyens de participer activement à la société pour améliorer leur propre vie en représentant et en défendant leurs besoins et intérêts et ceux de leur organisation

Nos propositions pour l’avenir de l’Europe

Après des dizaines d’ateliers, dont un événement de trois jours dédié à la Conférence de l’Avenir de l’Europe, nous Jeunes démocrates européens (YDE), avons formulé puis adopté une cinquantaine de propositions sur notre vision de l’Europe. Voici ci-dessous nos principales propositions :

  • Mettre en place un service civil européen.
  • Créer un poste pour les jeunes au sein des institutions européennes.
  • Créer un système d’identification européenne symbolique entre les États membres.
  • Intégrer une mobilité européenne au cours d’une année de lycée avec un programme Eramus dédié.
  • Augmenter l’implication des citoyens avec des listes transnationales aux élections européennes et à travers des outils de démocratie directe.
  • Réaliser la taxe carbone de l’UE, directement affectée au financement de la neutralité carbone de l’UE pour 2050 et accroître la souveraineté de l’Europe.
  • Une intégration étroite avec les petits États, les régions et les États européens qui ne sont pas encore membres.
  • Mettre en place une coordination européenne pour lutter contre les inégalités entre les jeunes et notamment le chômage des jeunes.
  • Réaliser un marché global européen incluant les régions d’outre-mer.
    Créer une e-citoyenneté pour la démocratie directe et expérimenter le vote en ligne pour les élections européennes.

Vous pouvez retrouver l’ensemble des propositions en cliquant ci-dessous :

Démocratie européenne : Quelles solutions ?

La Conférence sur l’avenir de l’Europe est lancée, il est temps pour les démocrates, les jeunes et ceux qui le sont moins, les Alsaciens, les Européens et tous ceux qui le souhaitent de se retrouver pour faire entendre leur voix 📢

Après un discours introduction de Marie Pierre Vedrenne, députée européenne, engagée dans la Commission du Commerce international ainsi que celle des droits de la femme et de l’égalité des genres, nous échangerons pour revigorer la démocratie européenne dont Strasbourg est le coeur battant 🇪🇺

On compte donc sur vous pour faire de cet événement gratuit et ouvert à tous une réussite, pour la démocratie européenne et pour chacun d’entre nous.

Cet événement aura lieu le mardi 6 juillet de 19h à 20h30 au FEC (17, Place Saint-Etienne, 67000 Strasbourg). Il est organisé par les Jeunes Démocrates Alsace et le Parti Démocrate Européen, avec la participation des Jeunes Démocrates européens et du Mouvement Démocrate Alsace.

👉 Inscription via ce formulaire.

📱 Retrouvez l’événement sur Facebook.

De l’actualité de la CECA

La fédération des Jeunes démocrates Alsace, membre des Jeunes démocrates européens, a publié un communiqué pour les 70 ans de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA), nous nous faisons l’écho de leurs propositions intéressantes :

Petit événement pour les férus d’histoire, les « eurobéats » ou plus simplement ceux qui ont un vague souvenir de leurs cours d’histoire-géographie, la Communauté européenne du charbon et de l‘acier (CECA) fête ses 70 ans. Ou plutôt, aurait fêté, car, disons-le d’emblée, la CECA n’existe plus. Elle est fondue cette communauté de 27 États européens que l’on appelle aujourd’hui Union européenne. Alors, pourquoi s’épancher sur ce vieux machin dont tant le nom « communauté » que le sujet « le charbon et l’acier » appartiennent au passé ? Parce que la CECA, c’est un esprit bien particulier qui consacre la réalité du projet européen tel que nous le connaissons.

Contrepied des révolutionnaires fédéralistes qui voulaient un État européen tout de suite et maintenant, la CECA vise à construite l’Europe par des « réalisations concrètes créant d’abord des solidarités de fait ». En résumé, plutôt que de signer une convention internationale qui interdirait la guerre, la CECA souhaite la rendre impossible : en plaçant sous une autorité commune, indépendante de ses États membres, la production de ressources indispensables pour faire la guerre, les six États européens signataires du traité ouvrent les conditions d’une paix qui perdure jusqu’à l’écriture de ces lignes.

L’idée, d’une simplicité évidente, est dès lors d’une efficacité redoutable. Certains s’y opposent, d’autres l’applaudissent, mais tous comprennent ce qui est en jeu. Sa descendante directe, l’Union européenne, pourrait bien s’en inspirer, et ce à plusieurs titres :

  • Tout d’abord, la CECA s’est construite autour d’un objectif, faire la paix, qui a débouché sur une proposition politique : créer une institution européenne chargée de gérer la production et l’écoulement de matières stratégiques. Et c’est tout. Il n’a pas été question d’incarnation politique, de guerre d’égo ou de rapport de forces entre institutions européennes. Des États volontaires se sont accordés pour déléguer une partie de leur souveraineté, le projet s’est ensuite mis en œuvre.
  • Ensuite concernant les parties prenantes : tout le monde a été invité, seuls les volontaires ont participé. C’est un enseignement fort de l’esprit de la CECA, viendront d’abord ceux qui le souhaitent, tout en laissant la porte ouverte pour les suivants. Si l’Union européenne est empêtrée dans des conflits internes, alors les États volontaires doivent s’engager et si nécessaire dépasser le cadre actuel. Les limites de l’Union européenne sont celles que les États ont bien voulues se fixer et qu’ils acceptent de respecter, on ne peut craindre de devoir les dépasser.
  • Sur les ressources, propres : la CECA prélevait directement une taxe sur les producteurs de charbon et d’acier, sans alignement préalable des taxes nationales. À l’heure des États frugaux, des sommets marathons pour s’accorder sur la contribution des États membres au budget de l’Union européenne, la possibilité pour l’institution d’assumer son financement de manière autonome parait révolutionnaire, elle ne l’était pourtant pas il y a soixante-dix ans.
  • Enfin, sur les finalités : la CECA fut conçue comme une première coopération qui en appellerait d’autres. Si l’Union européenne est une conséquence directe et une réussite majeure de la CECA, rien ne la dispose à être son aboutissement. La mécanique enclenchée par la CECA s’est figée ces dernières années. Toute révision des traités est interprétée comme un affaiblissement d’une institution pourtant critiquée, comme si de ne pas parler des limites d’un régime allait le protéger de sa chute. La CECA n’avait pas prévue l’Union européenne, elle avait en revanche prévue un avenir commun pour les Européens.

Dès lors, l’esprit de la CECA nous est bien utile. Nous, Jeunes démocrates Alsace, croyons que le projet européen sera revigoré par des actions concrètes, autofinancées, prises par des États volontaires qui s’engagent pour un avenir meilleur de leurs citoyens fait sens aujourd’hui. Alors que l’épidémie de la Covid-19 a été un moyen d’avancer ensemble, à la fois sur la gestion de la crise, mais aussi pour sa relance avec un instrument de dette commune, il convient de laisser l’imagination des citoyens et de leurs représentants libres de proposer une nouvelle étape de la construction européenne. Le lancement, au lendemain des 70 ans de la CECA, d’une plateforme de consultation des citoyens dans le cadre de la Conférence sur l’avenir de l’Europe et à ce titre une formidable opportunité dont nous devons nous saisir. Mais si le cadre se trouvait trop restreint, ou la volonté politique des 27 États membres trop tenue, alors il nous faudra prendre nos responsabilités et concevoir ensemble la prochaine étape d’un projet pour les Européens.

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Young Democrats for Europe (YDE)
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YDE est l’aile jeunesse du parti européen. Nous acceptons le rôle clé des principes démocratiques, souligné dans le traité de Lisbonne et inscrit dans nos convictions politiques: démocratie, liberté, égalité, participation, durabilité et solidarité.

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